𝗟𝗲𝘀 𝗖𝗵𝗿𝗼𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗚𝗲𝗻𝘁𝗹𝗲𝗺𝗮𝗻
𝗘́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲 – 𝗟𝗼𝘀 𝗦𝗮𝗻𝘁𝗼𝘀 : 𝙐𝙣𝙚 𝙚́𝙥𝙤𝙦𝙪𝙚 𝙤𝙪̀ 𝙡𝙚𝙨 𝙨𝙚𝙘𝙧𝙚𝙩𝙨 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙢𝙤𝙣𝙣𝙖𝙞𝙚 𝙘𝙤𝙪𝙧𝙖𝙣𝙩𝙚, 𝙚𝙩 𝙤𝙪̀ 𝙡𝙚𝙨 𝙢𝙪𝙧𝙨 𝙚𝙪𝙭-𝙢𝙚̂𝙢𝙚𝙨 𝙨𝙚𝙢𝙗𝙡𝙚𝙣𝙩 𝙖𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙙𝙚𝙨 𝙤𝙧𝙚𝙞𝙡𝙡𝙚𝙨...

𝗠𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗲𝗿𝘀 𝗹𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀,

Il arrive parfois que les vérités les plus croustillantes ne proviennent pas des ruelles sombres ou des confidences murmurées dans l’arrière-salle d’un club privé, mais bien des institutions elles-mêmes. Et aujourd’hui, nous devons adresser nos plus sincères remerciements au 𝗟𝗦𝗖𝗦𝗗, dont l’imprudente générosité a permis de lever le voile sur une machination digne des plus grandes tragédies politiques.

Car figurez-vous que 𝗹’𝗮𝗻𝗰𝗶𝗲𝗻 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗲𝘂𝗿, dans toute sa noblesse déchue, n’était pas seulement un homme de lois et de discours bien rodés. Non, mes amis, il jouait une toute autre partition dans les coulisses du pouvoir. Un partenariat secret avec 𝗹𝗮 𝗳𝗮𝗺𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗟𝗼𝗿𝗼𝗻𝗵𝗮, cette grande dynastie dont l’influence s’étend bien au-delà des salons mondains, aurait été scellé dans l’ombre, avec 𝘂𝗻 𝗼𝗯𝗷𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳 aussi simple qu’explosif : 𝗮𝗻𝗲𝗮𝗻𝘁𝗶𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗨𝗻𝗿𝗲𝗽𝗲𝗻𝘁𝗲𝗱 𝗲𝘁 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝘀𝗮𝘂𝘁𝗲𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗽𝗶è𝗰𝗲 𝗺𝗮î𝘁𝗿𝗲𝘀𝘀𝗲 𝗱𝘂 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗿𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗟𝗼𝘀 𝗦𝗮𝗻𝘁𝗼𝘀, 𝗹’𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲 𝗱’𝗮𝗰𝗵𝗮𝘁 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝘃𝗲𝗻𝘁𝗲 𝗣𝗼𝘀𝘁 𝗢𝗽.

Pourquoi ? La réponse, comme toujours, est une question de pouvoir et de contrôle. Les Unrepented, ce groupe de bikers aux activités parfois trop prospères pour ne pas attirer l’attention, représentaient une menace. Trop d’influence, trop de deals, trop de liberté dans une ville où chaque centimètre d’asphalte a un propriétaire officieux. Alors, quoi de mieux que d’orchestrer leur chute avec une alliance soigneusement ficelée entre figures politiques et crime organisé ?

Mais le clou du spectacle, chers lecteurs, réside dans la tentative de faire sauter le Post Op, entreprise pivot du commerce local. Un message à peine voilé : dans cette ville, les affaires ne sont viables que lorsqu’elles servent les bons intérêts. Et si le Post Op ne se pliait pas aux règles de ce jeu macabre, il valait mieux l’anéantir que le laisser prospérer.

Quant à notre cher LSCSD, dont la prétendue neutralité se drape de plus en plus d’accents involontairement comiques, on ne saurait trop leur exprimer notre gratitude pour cette précieuse fuite d’information. Il est toujours bon de se rappeler qu’ici, même ceux qui prétendent servir la loi en sont parfois les premiers fossoyeurs.

Alors, mes amis, si vous croisez l’ancien gouverneur, n’oubliez pas de le féliciter pour cette carrière parallèle… et de lui rappeler que dans cette ville, 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐟𝐢𝐧𝐢𝐭 𝐩𝐚𝐫 𝐬𝐞 𝐬𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫.

𝘼𝙫𝙚𝙘 𝙩𝙤𝙪𝙩𝙚 𝙡𝙖 𝙙𝙚́𝙨𝙞𝙣𝙫𝙤𝙡𝙩𝙪𝙧𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙢𝙚 𝙘𝙖𝙧𝙖𝙘𝙩𝙚́𝙧𝙞𝙨𝙚,
𝙑𝙤𝙩𝙧𝙚 𝙝𝙪𝙢𝙗𝙡𝙚 𝙣𝙖𝙧𝙧𝙖𝙩𝙚𝙪𝙧,

𝗦𝗶𝗿 𝗔𝗿𝗰𝗵𝗶𝗯𝗮𝗹𝗱 𝗕𝗲𝗹𝗺𝗼𝗻𝘁.