๐—Ÿ๐—ฒ๐˜€ ๐—–๐—ต๐—ฟ๐—ผ๐—ป๐—ถ๐—พ๐˜‚๐—ฒ๐˜€ ๐—ฑ๐˜‚ ๐—š๐—ฒ๐—ป๐˜๐—น๐—ฒ๐—บ๐—ฎ๐—ป
๐—˜ฬ๐—ฑ๐—ถ๐˜๐—ถ๐—ผ๐—ป ๐˜€๐—ฝ๐—ฒฬ๐—ฐ๐—ถ๐—ฎ๐—น๐—ฒ โ€“ ๐—Ÿ๐—ผ๐˜€ ๐—ฆ๐—ฎ๐—ป๐˜๐—ผ๐˜€ : ๐™๐™ฃ๐™š ๐™šฬ๐™ฅ๐™ค๐™ฆ๐™ช๐™š ๐™ค๐™ชฬ€ ๐™ก๐™š๐™จ ๐™จ๐™š๐™˜๐™ง๐™š๐™ฉ๐™จ ๐™จ๐™ค๐™ฃ๐™ฉ ๐™ข๐™ค๐™ฃ๐™ฃ๐™–๐™ž๐™š ๐™˜๐™ค๐™ช๐™ง๐™–๐™ฃ๐™ฉ๐™š, ๐™š๐™ฉ ๐™ค๐™ชฬ€ ๐™ก๐™š๐™จ ๐™ข๐™ช๐™ง๐™จ ๐™š๐™ช๐™ญ-๐™ข๐™šฬ‚๐™ข๐™š๐™จ ๐™จ๐™š๐™ข๐™—๐™ก๐™š๐™ฃ๐™ฉ ๐™–๐™ซ๐™ค๐™ž๐™ง ๐™™๐™š๐™จ ๐™ค๐™ง๐™š๐™ž๐™ก๐™ก๐™š๐™จ...

Mes chers lecteurs,

Avant toute chose, permettez-moi de prรฉsenter ๐—บ๐—ฒ๐˜€ ๐—ฝ๐—น๐˜‚๐˜€ ๐˜€๐—ถ๐—ป๐—ฐ๐—ฒ๐—ฟ๐—ฒ๐˜€ ๐—ฒ๐˜…๐—ฐ๐˜‚๐˜€๐—ฒ๐˜€ pour mon absence rรฉcente. La plume du Gentleman ne se repose jamais vraiment, mais il faut parfois laisser le temps aux secrets de mรปrir pour en extraire le nectar le plus savoureux. Et croyez-moi, celui que je vous livre aujourdโ€™hui a la saveur douce-amรจre de la trahison et du scandale.

Il semblerait que notre nouveau ๐—ด๐—ผ๐˜‚๐˜ƒ๐—ฒ๐—ฟ๐—ป๐—ฒ๐˜‚๐—ฟ ๐—ฃ๐—ฒ๐—ฟ๐—ฒ๐˜‡ ait trouvรฉ une maniรจre bien particuliรจre de cรฉlรฉbrer son accession au pouvoir : dans les bras de ๐—Ÿ๐˜‚๐—ฐ๐—ถ๐—ฎ ๐—ฆ๐—บ๐—ถ๐˜๐—ต, une femme dont la rรฉputation, disonsโ€ฆ partagรฉe, nโ€™est un secret pour personne. Car oui, mes chers, Lucia nโ€™est pas exactement connue pour son sens de la retenue. Avant de capturer le cล“ur du gouverneur, elle avait dรฉjร  fait un joli petit tour de piste parmi les hommes influents de la ville.

Mais lร  oรน lโ€™histoire devient vรฉritablement savoureuse, cโ€™est en regardant de lโ€™autre cรดtรฉ du lit conjugal. Perez nโ€™a pas simplement trouvรฉ lโ€™amour : il a troquรฉ sa relation avec ๐—ก๐—ผ๐—ฟ๐—ฎ ๐—ช๐—ฟ๐—ถ๐—ด๐—ต๐˜, son ex bien connue, pour les charmes envoรปtants โ€“ et visiblement stratรฉgiques โ€“ de Lucia. Car ne vous y trompez pas : Lucia ne se contente pas ๐—ฑโ€™๐—ฎ๐—ถ๐—บ๐—ฒ๐—ฟ, elle ๐—ผ๐—ฟ๐—ฐ๐—ต๐—ฒ๐˜€๐˜๐—ฟ๐—ฒ. Chaque apparition publique, chaque sourire calculรฉ nโ€™est lร  que pour renforcer son emprise, tenant le gouverneur non pas par la raison, mais par les sentiments.

Et comme si cela ne suffisait pas ร  pimenter la vie mondaine de Los Santos, laissez-moi vous glisser une autre petite confidence : ๐—Ÿ๐—ฒ๐—ผ ๐—ฅ๐—ถ๐˜ƒ๐—ฒ๐—ฟ๐—ฎ, Directeur du PSU, semblais avoir trouvรฉ du rรฉconfort entre les draps de ๐—ง๐—ต๐—ฎรฏ๐˜€ ๐—ก๐—ฒ๐˜„๐—ต๐—ฎ๐—ฟ๐˜, ancienne patronne de lโ€™Ammu-Nation. Une liaison aussi explosive que les marchandises quโ€™elle vendait autrefois, et qui, ร  en croire les murmures, ne passe pas inaperรงue.

Dโ€™ailleurs, il semblerait que ๐—–๐—ฎ๐˜€๐˜€๐—ถ๐—ฒ ๐—ข๐—น๐˜€๐—ฒ๐—ป ๐—ฒ๐˜ ๐—”๐—ฟ๐—ผ๐—ป๐—ฒ ๐—๐—ผ๐—ป๐—ฒ๐˜€, toujours prompts ร  juger les mล“urs des autres, ne se privent pas de critiquer ouvertement ces idylles entre deux sermons sur la dรฉcence. Comme si, dans cette ville, lโ€™hypocrisie nโ€™รฉtait pas dรฉjร  une seconde nature.

Alors, chers lecteurs, pendant que certains se drapent de vertu et que d'autres s'enlacent dans lโ€™ombre, souvenez-vous d'une chose : ร  ๐“›๐“ธ๐“ผ ๐“ข๐“ช๐“ท๐“ฝ๐“ธ๐“ผ, ๐“ต๐“ฎ๐“ผ ๐“ผ๐“ฎ๐“ท๐“ฝ๐“ฒ๐“ถ๐“ฎ๐“ท๐“ฝ๐“ผ ๐“ผ๐“ธ๐“ท๐“ฝ ๐“พ๐“ท๐“ฎ ๐“ถ๐“ธ๐“ท๐“ท๐“ช๐“ฒ๐“ฎ ๐“ญโ€™รฉ๐“ฌ๐“ฑ๐“ช๐“ท๐“ฐ๐“ฎ, ๐“ฎ๐“ฝ ๐“ฌ๐“ฎ๐“พ๐” ๐“บ๐“พ๐“ฒ ๐“ณ๐“ธ๐“พ๐“ฎ๐“ท๐“ฝ ๐“ช๐“ฟ๐“ฎ๐“ฌ ๐“ต๐“ฎ ๐“ฌล“๐“พ๐“ป ๐“ฏ๐“ฒ๐“ท๐“ฒ๐“ผ๐“ผ๐“ฎ๐“ท๐“ฝ ๐“ฝ๐“ธ๐“พ๐“ณ๐“ธ๐“พ๐“ป๐“ผ ๐“น๐“ช๐“ป ๐“ผ๐“ฎ ๐“ซ๐“ปรป๐“ต๐“ฎ๐“ป ๐“ต๐“ฎ๐“ผ ๐“ญ๐“ธ๐“ฒ๐“ฐ๐“ฝ๐“ผ.

๐˜ผ๐™ซ๐™š๐™˜ ๐™ฉ๐™ค๐™ช๐™ฉ๐™š ๐™ก๐™– ๐™™๐™šฬ๐™จ๐™ž๐™ฃ๐™ซ๐™ค๐™ก๐™ฉ๐™ช๐™ง๐™š ๐™ฆ๐™ช๐™ž ๐™ข๐™š ๐™˜๐™–๐™ง๐™–๐™˜๐™ฉ๐™šฬ๐™ง๐™ž๐™จ๐™š,
๐™‘๐™ค๐™ฉ๐™ง๐™š ๐™๐™ช๐™ข๐™—๐™ก๐™š ๐™ฃ๐™–๐™ง๐™ง๐™–๐™ฉ๐™š๐™ช๐™ง,

๐—ฆ๐—ถ๐—ฟ ๐—”๐—ฟ๐—ฐ๐—ต๐—ถ๐—ฏ๐—ฎ๐—น๐—ฑ ๐—•๐—ฒ๐—น๐—บ๐—ผ๐—ป๐˜.

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