𝗟𝗲𝘀 𝗖𝗵𝗿𝗼𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗚𝗲𝗻𝘁𝗹𝗲𝗺𝗮𝗻
𝗘́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲 – 𝗟𝗼𝘀 𝗦𝗮𝗻𝘁𝗼𝘀 : 𝙐𝙣𝙚 𝙚́𝙥𝙤𝙦𝙪𝙚 𝙤𝙪̀ 𝙡𝙚𝙨 𝙨𝙚𝙘𝙧𝙚𝙩𝙨 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙢𝙤𝙣𝙣𝙖𝙞𝙚 𝙘𝙤𝙪𝙧𝙖𝙣𝙩𝙚, 𝙚𝙩 𝙤𝙪̀ 𝙡𝙚𝙨 𝙢𝙪𝙧𝙨 𝙚𝙪𝙭-𝙢𝙚̂𝙢𝙚𝙨 𝙨𝙚𝙢𝙗𝙡𝙚𝙣𝙩 𝙖𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙙𝙚𝙨 𝙤𝙧𝙚𝙞𝙡𝙡𝙚𝙨...

Mes chers lecteurs,

Avant toute chose, permettez-moi de présenter 𝗺𝗲𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝘀𝗶𝗻𝗰𝗲𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘅𝗰𝘂𝘀𝗲𝘀 pour mon absence récente. La plume du Gentleman ne se repose jamais vraiment, mais il faut parfois laisser le temps aux secrets de mûrir pour en extraire le nectar le plus savoureux. Et croyez-moi, celui que je vous livre aujourd’hui a la saveur douce-amère de la trahison et du scandale.

Il semblerait que notre nouveau 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗲𝘂𝗿 𝗣𝗲𝗿𝗲𝘇 ait trouvé une manière bien particulière de célébrer son accession au pouvoir : dans les bras de 𝗟𝘂𝗰𝗶𝗮 𝗦𝗺𝗶𝘁𝗵, une femme dont la réputation, disons… partagée, n’est un secret pour personne. Car oui, mes chers, Lucia n’est pas exactement connue pour son sens de la retenue. Avant de capturer le cœur du gouverneur, elle avait déjà fait un joli petit tour de piste parmi les hommes influents de la ville.

Mais là où l’histoire devient véritablement savoureuse, c’est en regardant de l’autre côté du lit conjugal. Perez n’a pas simplement trouvé l’amour : il a troqué sa relation avec 𝗡𝗼𝗿𝗮 𝗪𝗿𝗶𝗴𝗵𝘁, son ex bien connue, pour les charmes envoûtants – et visiblement stratégiques – de Lucia. Car ne vous y trompez pas : Lucia ne se contente pas 𝗱’𝗮𝗶𝗺𝗲𝗿, elle 𝗼𝗿𝗰𝗵𝗲𝘀𝘁𝗿𝗲. Chaque apparition publique, chaque sourire calculé n’est là que pour renforcer son emprise, tenant le gouverneur non pas par la raison, mais par les sentiments.

Et comme si cela ne suffisait pas à pimenter la vie mondaine de Los Santos, laissez-moi vous glisser une autre petite confidence : 𝗟𝗲𝗼 𝗥𝗶𝘃𝗲𝗿𝗮, Directeur du PSU, semblais avoir trouvé du réconfort entre les draps de 𝗧𝗵𝗮ï𝘀 𝗡𝗲𝘄𝗵𝗮𝗿𝘁, ancienne patronne de l’Ammu-Nation. Une liaison aussi explosive que les marchandises qu’elle vendait autrefois, et qui, à en croire les murmures, ne passe pas inaperçue.

D’ailleurs, il semblerait que 𝗖𝗮𝘀𝘀𝗶𝗲 𝗢𝗹𝘀𝗲𝗻 𝗲𝘁 𝗔𝗿𝗼𝗻𝗲 𝗝𝗼𝗻𝗲𝘀, toujours prompts à juger les mœurs des autres, ne se privent pas de critiquer ouvertement ces idylles entre deux sermons sur la décence. Comme si, dans cette ville, l’hypocrisie n’était pas déjà une seconde nature.

Alors, chers lecteurs, pendant que certains se drapent de vertu et que d'autres s'enlacent dans l’ombre, souvenez-vous d'une chose : à 𝓛𝓸𝓼 𝓢𝓪𝓷𝓽𝓸𝓼, 𝓵𝓮𝓼 𝓼𝓮𝓷𝓽𝓲𝓶𝓮𝓷𝓽𝓼 𝓼𝓸𝓷𝓽 𝓾𝓷𝓮 𝓶𝓸𝓷𝓷𝓪𝓲𝓮 𝓭’é𝓬𝓱𝓪𝓷𝓰𝓮, 𝓮𝓽 𝓬𝓮𝓾𝔁 𝓺𝓾𝓲 𝓳𝓸𝓾𝓮𝓷𝓽 𝓪𝓿𝓮𝓬 𝓵𝓮 𝓬œ𝓾𝓻 𝓯𝓲𝓷𝓲𝓼𝓼𝓮𝓷𝓽 𝓽𝓸𝓾𝓳𝓸𝓾𝓻𝓼 𝓹𝓪𝓻 𝓼𝓮 𝓫𝓻û𝓵𝓮𝓻 𝓵𝓮𝓼 𝓭𝓸𝓲𝓰𝓽𝓼.

𝘼𝙫𝙚𝙘 𝙩𝙤𝙪𝙩𝙚 𝙡𝙖 𝙙𝙚́𝙨𝙞𝙣𝙫𝙤𝙡𝙩𝙪𝙧𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙢𝙚 𝙘𝙖𝙧𝙖𝙘𝙩𝙚́𝙧𝙞𝙨𝙚,
𝙑𝙤𝙩𝙧𝙚 𝙝𝙪𝙢𝙗𝙡𝙚 𝙣𝙖𝙧𝙧𝙖𝙩𝙚𝙪𝙧,

𝗦𝗶𝗿 𝗔𝗿𝗰𝗵𝗶𝗯𝗮𝗹𝗱 𝗕𝗲𝗹𝗺𝗼𝗻𝘁.